La « drogue du viol » désigne des substances comme le GHB, le Rohypnol ou la ketamine, qui sont parfois utilisées à l’insu des victimes pour provoquer une sédation, une perte de mémoire ou une diminution de la résistance. Ces drogues sont souvent employées à des fins criminelles, notamment dans des agressions sexuelles, car elles rendent la victime vulnérable et peuvent difficilement être détectées après quelques heures.